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Les pixels morts ne sont pas une fatalité, il faut savoir en tirer profit

Guilhem traine en quelque sorte une malédiction puisque ces trois boitiers ont tous le même problème de pixels morts. Et bien malheureusement pour lui, la période de garantie a expiré. Nous autres photographes, sommes tous atteints par cette peur – les spécialistes appellent ça la nécropixelophobie – de voir apparaitre par surprise des petits carrés noirs, verts, violets, rouges ou blancs sur nos images.

Très fidèle à la marque Fujifilm, Guilhem ne compte pas changer pour autant ses trois boitiers. Lors d’une séance de nu, il a réussi à trouver comment tirer profit de cette situation.

Je me suis dit, qu’au lieu de gérer les pixels morts en post-traitement pour recomposer de la matière et du détail, je pourrais juste les laisser. Et c’est comme ça que je les intègre maintenant dans mes composition où ils me servent à cacher les parties intimes d’une anatomie.

Appelez ça comme vous voulez, moi j’appelle ça du génie.